C’est pourquoi c’est le peuple lui-même qui doit poser la question : si le nombre requis de signatures est réuni, la question est soumise en votation populaire. Ou alors, la décision doit être automatiquement soumise au peuple quand elle est suffisamment importante (par exemple pour modifier la Constitution).
Ce blog vise à promouvoir la démocratie semi-directe en France. Il s’agit de compléter la démocratie représentative par des instruments de démocratie directe (droits de référendum et d’initiative populaires) qui empêchent les élus de confisquer le pouvoir entre deux élections.
vendredi 11 novembre 2011
Le pouvoir de celui qui choisit la question
François De
Smet dit que « le problème douloureux, inavouable, c’est que dans
un référendum celui qui a le pouvoir ce n’est pas le peuple ; c’est celui qui
choisit la question ».
C’est pourquoi c’est le peuple lui-même qui doit poser la question : si le nombre requis de signatures est réuni, la question est soumise en votation populaire. Ou alors, la décision doit être automatiquement soumise au peuple quand elle est suffisamment importante (par exemple pour modifier la Constitution).
En France actuellement,
c’est par contre le président qui choisit la question (et qui choisit s’il y a une
votation ou pas). Ce n’est pas
une véritable démocratie.
C’est pourquoi c’est le peuple lui-même qui doit poser la question : si le nombre requis de signatures est réuni, la question est soumise en votation populaire. Ou alors, la décision doit être automatiquement soumise au peuple quand elle est suffisamment importante (par exemple pour modifier la Constitution).
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